Aveugle comme le ciel
Connaissez-vous un film qui se nomme Rouge comme le ciel? Je ne crois pas parce que ce scénario est un film unique en son genre et il n’a pas été présenté dans les salles de cinéma. Il traite d’un thème particulier soit les personnes aveugles. Je me demande comment le réalisateur Cristiano Bortone a réussi à réaliser une projection incroyable comme cela. Selon moi, ce film est extraordinaire. Ce long métrage m’a beaucoup plu, car les personnages avaient tous un rôle particulier même s’ils étaient presque tous privés de la vue.
Pour continuer, je vais vous parler un peu plus de ce film inspiré d’un fait vécu. L’histoire capte lentement l’attention des spectateurs. Il faut attendre la scène où Mirco, le personnage principal, se blesse en jouant avec le pistolet de son père pour réussir à capter notre attention. Par contre, les images sont pittoresques. Cette projection a plusieurs parties tristes. Un exemple de cela c’est quand Mirco doit quitter sa famille pour aller dans un pensionnat religieux spécialisé pour les aveugles. Savez-vous pourquoi il doit quitter sa famille pour aller dans un institut? C’est en raison de sa cécité. Les écoles italiennes n’acceptaient pas les élèves ayant des handicaps. Ce n’est pas triste ça!
Pour finir, je vais vous dire mon appréciation générale de ce long métrage. Je vais être honnête, si on m’avait proposé une autre projection avant de connaitre celle-ci, j’aurais choisi l’autre film. Ne vous inquiétiez pas! Cela a changé parce qu’il faut toujours essayer avant de dire que ce n’est pas bon. Au final, j’ai adoré cette œuvre cinématographique et ma façon de choisir des films a complètement changé. À partir de maintenant, je vais choisir des films plus originaux ainsi que des films qui parlent du monde.
En terminant, j’aimerais vous dire ce que je retiens du message que veut nous faire comprendre le réalisateur. Il ne faut pas juger les personnes trop rapidement et il ne faut pas se fier à leur apparence. Une personne aveugle mérite qu’on la traite comme les autres.
Critique écrite par Jonathan Sainthelmy et modifiée par les élèves de la classe 314, école Jean-Nicolet
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