Chanoine-Joseph-Théorêt : classe de madame Annie

Le 7 janvier, nous sommes allés voir le film intitulé Kauwboy dans le cadre du projet avec le FIFEM (Festival International du Film pour Enfants de Montréal).  Le projet consistait à apprendre comment bien faire une critique cinématographique.  Voici le résultat!

Pour débuter, nous allons vous faire un petit aperçu sur l’histoire. Selon nous, cette histoire a capté l’attention rapidement car Jojo trouve dès le début son futur compagnon appelé le Chouka qui s’était blessé près d’un arbre où l’enfant s’aventure souvent. Cela nous a intrigué parce que nous  ne savions pas ce que Jojo allait faire avec l’oiseau. De plus, le père était violent avec  Jojo, car sa femme était décédée et que c’était une façon pour lui de vivre son deuil et cette situation nous a permis de vraiment rester concentré sur le film. Ce film nous a plu parce que nous n’avons pas souvent vu des films dans lesquels les expressions et les émotions se faisaient plus souvent avec les gestes et la  musique. Selon nous, le sujet du film était un sujet assez développé car il y a souvent des films basés sur une amitié entre un animal et un enfant, mais celui-ci était amené d’une façon surprenante.

Par la suite, parlons des scènes. Les scènes qui nous ont le plus touchés sont les suivantes.  Premièrement parlons de la mort de Chouki.  Même si cette scène était touchante elle ne nous a pas surpris à cause de plusieurs détails.  En effet, la prise de vue sur la roue du vélo et le changement de musique nous ont informés d’un choc à venir. Une autre scène que nous avons trouvée touchante c’est celle où Jojo chantait bon anniversaire à sa mère décédée. Cette scène était touchante, car il n’accepte pas la mort de sa mère et ne voulait pas voir la réalité en face. Le rythme des scènes était très lent, mais il correspondait bien avec les images.

Troisièmement, certains personnages sont crédibles, comme le père de Jojo et Jojo lui-même car ils jouaient souvent très bien leurs émotions. Yenthe, elle, n’était pas vraiment crédible parce qu’elle était mise un peu de côté et ses émotions ne se reflétaient pas beaucoup sur son visage. Aussi, nous avons trouvé la plupart des personnages attachants, car quand un personnage démontrait une émotion nous la ressentions à notre tour, la plupart du temps. Le père était attachant parce qu’il faisait pitié, c’est-à-dire qu’en étant violent avec Jojo, il était violent avec lui-même. En gros, nous avons apprécié les personnages du film. Finalement, il y a des personnages qui sont pluridimensionnels comme Jojo parce qu’il y a des moments du film où Jojo est sage et d’autres plus violents verbalement et physiquement. Il y a aussi le père de Jojo qui est vulnérable et attristé cela fait en sorte qu’il est violent avec Jojo.

Pour conclure, les élèves ont bien aimé l’expérience et remercie le FIFEM pour ce beau projet.

Texte réalisé par les élèves de la classe d’Annie Thibodeau de l’école Chanoine-Joseph-Théorêt !

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